Premier mouvement du concerto pour violon de
Philip Glass
Il y a quelque chose d'intemporel, de transcendant dans la musique de Philip Glass et dans ce
premier mouvement du premier concerto pour violon en particulier. Curieusement ce compositeur américain me fait penser à Bach ... ces arpèges longuement répétés permettent à l'auditeur de
"s'installer" de se mettre "en phase" avec lui-même, avec le monde... Je n'ai constaté cette possibilité que dans la musique du grand Jean Sébastien (toutes proportions gardées, naturellement)
qui, avant Glass, plaçait également l'Homme au centre du propos musical.
Un autre article à propos de Philip Glass ICI