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En espérant que toutes et tous êtes revenus de vacances ... voici le :
Jeu du livre ouvert
le hasard n'existe pas (ou bien il existe)
Règle :
Prenez le livre que vous êtes en train de lire, à la page 33 et copier, en commentaire, la troisième phrase de cette page ...
et voyons ensemble, au bout d'un temps, si toutes ces phrases ont un semblant de cohérence ...
La mienne : "À l'autre bout du hall,nous franchîmes un passage qui menait à un escalier en spirale de marbre blanc".
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Quelques phrases :
Jacqueline : "pas en raison de son amour, mais de ses espérances trompées"
Maryvonne : "de toutes façons, avec Elizabeth, les mots n'avaient aucune importance et n'en avaient jamais eu."
Mazzia : "Est-ce jamais le moment ?"
Giraudet : ..Une cause,une raison,un sens manquent en profondeur,aussi bien aux phénomènes physiques qu'aux buts et désirs humains ..
Liliane :"Votre présence nous comble"
Bénédicte : ''J'ai noté l'heure quand je suis partie''
La Fée : menton,dans un arc parfait.
Anne-Marie :
Quiconque a regardé le soleil fixement
Croit voir devant ses yeux voler obstinément
Autour de lui, dans l'air, une tache livide.
Marine D. : "il lui répondait toujours"
Daniel : "Je le regarde, sidéré : le poil ras, tout blanc, certe, mais encore gaillard, l'oeil vif."
F. La débutante : "C'est pourquoi un tel calme règne ici."
Jean : "Cette implication est un mélange subtil d'abandon et d'engagement"
Mazzia (bis) : La sexualité des hommes est perçue, par les autres hommes, comme agressive et nocive à leur égard, sans compter les croyances relatives à l'idée d'imprégnation.
Pasteline : "haine, indifférence, agressivité"
Marine D. : "Elle les regarda discrètement ."
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Parce qu'il faut bien s'arrêter à un moment,
le petit-jeu-de-fin-de-vacances est clos
mais il y aura ici d'autres jeux littéraires ...
voir le résultat du
jeu ...